Nous avions, il y a plus d'un mois envoyé un courrier à Philippe Couturaud pour avoir des informations sur la dématérialisation du bac, dans un contexte où beaucoup de questions se posaient alors qu'aucune réponse n'était fournie.
Entre temps, le proviseur nous a informés qu'une formation d'une demi-journée nous serait très prochainement donnée.
D'importants et salutaires éclaircissement offerts par cette réponse du conseiller culturel adjoint, ont finalement complété ce que nous en savions.
Nous somme satisfaits que nombre des tâches fastidieuses pour les personnels administratifs soient ainsi appelées à disparaître. De même que les correcteurs n'auront plus à rentrer les notes (opération très simplifiée depuis longtemps!).
Cependant il semble acté que les réunions de concertation, déjà réduites à leur plus simple expression, puisque seuls quelques professeurs autour des EEMCP2 réfléchissaient aux consignes de correction (quelques disciplines continuaient à réunir tous les collègues) et les présentaient à leurs collègues au moment de la réception des copies, avec moultes consignes de notation bienveillante (ce qui est positif), disparaissent. Des forums de discussion les remplaceront.
Est-ce être ringard de regretter que disparaissent ces rares moments - certes pas forcément enrichissants !- de rencontre entre collègues d'une même discipline au niveau Maroc ! Loin d'être hostile aux moyens numériques, il est difficile d'admettre que les réunions déjà très rares soient définitivement abandonnées.
Certes, ces réunions annuelles, rituelles, très formelles, où le même scénario se jouait chaque année, dont chaque participant attendait qu'elles se terminent au plus vite, étaient souvent vues comme inutiles, de la réunionite purement et simplement, administrativement obligatoires ; encadrées par nos EEMCP2 , elles sont plus que jamais perçues comme le lieu où l'on va recevoir la bonne parole qui nous dira comment noter.
Alors disons que nous aurions souhaité de vraies réunions de concertation, (ce qui ne se fait que dans de très rares disciplines) en amont, déjà - soyons modeste - au niveau de notre établissement !
Nous souhaiterions qu'un travail collectif existe réellement pour réfléchir à nos enseignements, nos méthodes afin d'avoir des attentes réellement communes sur ce qu'un élève doit maîtriser au niveau du baccalauréat !
Entre temps, le proviseur nous a informés qu'une formation d'une demi-journée nous serait très prochainement donnée.
D'importants et salutaires éclaircissement offerts par cette réponse du conseiller culturel adjoint, ont finalement complété ce que nous en savions.
Nous somme satisfaits que nombre des tâches fastidieuses pour les personnels administratifs soient ainsi appelées à disparaître. De même que les correcteurs n'auront plus à rentrer les notes (opération très simplifiée depuis longtemps!).
Cependant il semble acté que les réunions de concertation, déjà réduites à leur plus simple expression, puisque seuls quelques professeurs autour des EEMCP2 réfléchissaient aux consignes de correction (quelques disciplines continuaient à réunir tous les collègues) et les présentaient à leurs collègues au moment de la réception des copies, avec moultes consignes de notation bienveillante (ce qui est positif), disparaissent. Des forums de discussion les remplaceront.
Est-ce être ringard de regretter que disparaissent ces rares moments - certes pas forcément enrichissants !- de rencontre entre collègues d'une même discipline au niveau Maroc ! Loin d'être hostile aux moyens numériques, il est difficile d'admettre que les réunions déjà très rares soient définitivement abandonnées.
Certes, ces réunions annuelles, rituelles, très formelles, où le même scénario se jouait chaque année, dont chaque participant attendait qu'elles se terminent au plus vite, étaient souvent vues comme inutiles, de la réunionite purement et simplement, administrativement obligatoires ; encadrées par nos EEMCP2 , elles sont plus que jamais perçues comme le lieu où l'on va recevoir la bonne parole qui nous dira comment noter.
Alors disons que nous aurions souhaité de vraies réunions de concertation, (ce qui ne se fait que dans de très rares disciplines) en amont, déjà - soyons modeste - au niveau de notre établissement !
Nous souhaiterions qu'un travail collectif existe réellement pour réfléchir à nos enseignements, nos méthodes afin d'avoir des attentes réellement communes sur ce qu'un élève doit maîtriser au niveau du baccalauréat !
notre courrier du 21 janvier 2015 |
La réponse de Philippe Couturaud du 20 février 2015 |
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